Je remercie Aloys Batungwanayo. Il aurait pu choisir de garder le silence afin de protéger un système auquel il a cru… avant de connaître ces déboires. Faut-il vraiment encore débattre des agissements des dirigeants burundais? Je pense que ce n’est pas utile. Il faudrait peut-être engager les citoyens burundais dans une démarche constructive visant à bâtir un système politique protégeant tout citoyen burundais contre la tyrannie de ses mandataires politiques, dont le président de l’Assemblee Nationale fait partie.
Le témoignage d’Aloys Batungwanayo montre que la CVR de M. Ndayicariye a un agenda politique et ne cherche en aucun cas la vérité. C’est Ndayicariye qui aurait dû être viré en non pas Batungwanayo qui semble était le seul commissaire à avoir une fibre scientifique au sein de cette CVR.
Pour moi, cette affaire relève de l’injuste et de la peur des autorités burundaises sur les violations des lois régissant les institutions mises en place par elles-mêmes. Les autorités burundaises savent qu'elles sont hors la loi, mettent en place des institutions hors la loi. Mais, on ne ment pas à la conscience. Elles s’accusent et cherchent des boucs emissaires pensant qu’elles vont se tirer d’affaires.
Je remercie Aloys Batungwanayo. Il aurait pu choisir de garder le silence afin de protéger un système auquel il a cru… avant de connaître ces déboires. Faut-il vraiment encore débattre des agissements des dirigeants burundais? Je pense que ce n’est pas utile. Il faudrait peut-être engager les citoyens burundais dans une démarche constructive visant à bâtir un système politique protégeant tout citoyen burundais contre la tyrannie de ses mandataires politiques, dont le président de l’Assemblee Nationale fait partie.
Merci pour votre opinion 🙏
Le témoignage d’Aloys Batungwanayo montre que la CVR de M. Ndayicariye a un agenda politique et ne cherche en aucun cas la vérité. C’est Ndayicariye qui aurait dû être viré en non pas Batungwanayo qui semble était le seul commissaire à avoir une fibre scientifique au sein de cette CVR.
Pour vous, que révèle cette affaire sur l’indépendance et la crédibilité de la CVR au Burundi ? Débattons
Pour moi, cette affaire relève de l’injuste et de la peur des autorités burundaises sur les violations des lois régissant les institutions mises en place par elles-mêmes. Les autorités burundaises savent qu'elles sont hors la loi, mettent en place des institutions hors la loi. Mais, on ne ment pas à la conscience. Elles s’accusent et cherchent des boucs emissaires pensant qu’elles vont se tirer d’affaires.