À l'époque du stade FFB, lors des grands matchs, les organisateurs avaient une tradition bien particulière : à environ dix minutes de la fin, ils ouvraient grand les portes aux jeunes des cités désargentés, aux chômeurs, bref à tous les laissés-pour-compte.
Je me pose parfois des questions lorsque je voudrais me faire comprendre sur la situation qui prévaut au Burundi.Comment sommes-nous retrouvés à ce niveau ci-bas?qu'est ce qu'on a péché? Malheureusement aucune lueur d'espoir, on progresse dans le pire du jour au jour. 🤦🏾♂️
Je me pose parfois des questions lorsque je voudrais me faire comprendre sur la situation qui prévaut au Burundi.Comment sommes-nous retrouvés à ce niveau ci-bas?qu'est ce qu'on a péché? Malheureusement aucune lueur d'espoir, on progresse dans le pire du jour au jour. 🤦🏾♂️
On disait aussi : Saa za bishomeri ou saa z'aba boss aussi... :-). Ah, l'humour noire des Burundais!!
Ce sont les champions...
Je me pose parfois des questions lorsque je voudrais me faire comprendre sur la situation qui prévaut au Burundi.Comment sommes-nous retrouvés à ce niveau ci-bas?qu'est ce qu'on a péché? Malheureusement aucune lueur d'espoir, on progresse dans le pire du jour au jour. 🤦🏾♂️
Je me pose parfois des questions lorsque je voudrais me faire comprendre sur la situation qui prévaut au Burundi.Comment sommes-nous retrouvés à ce niveau ci-bas?qu'est ce qu'on a péché? Malheureusement aucune lueur d'espoir, on progresse dans le pire du jour au jour. 🤦🏾♂️